Essentiel de la lecture
- Leadership engagé : Hassan Dakhlallah dirige PORTEO avec une vision fondée sur la qualité, la rigueur et l’impact social.
- Croissance dans un secteur stratégique : Le BTP en Afrique de l’Ouest est un moteur économique en pleine expansion, malgré de nombreux défis.
- Modèle intégré : PORTEO maîtrise la chaîne de valeur, de la formation des talents à la livraison d’infrastructures durables.
- Créateur d’emplois : Plus de 10 000 postes directs et indirects ont été générés par l’entreprise dans la région.
- Soutien aux PME locales : Intégration de plus de 200 petites entreprises dans sa chaîne d’approvisionnement, stimulant l’économie locale.
- Formation et montée en compétence : Des partenariats académiques permettent de développer une main-d’œuvre qualifiée, africaine et compétente.
- Responsabilité sociale structurée : La Fondation PORTEO mène des projets concrets, comme les cantines scolaires autonomes, avec un impact mesurable.
- Indépendance industrielle : PORTEO réinvestit ses bénéfices pour développer ses propres unités de production et acquérir ses équipements.
- BTP durable : L’entreprise adopte des solutions technologiques et écologiques (digitalisation, matériaux à faible empreinte carbone).
- Un modèle continental : PORTEO incarne une nouvelle manière de faire du BTP en Afrique — ambitieuse, responsable et tournée vers l’avenir.
Un dirigeant visionnaire au cœur du développement africain
Dans une Afrique de l’Ouest où la transformation des infrastructures est une condition essentielle à la croissance, Hassan Dakhlallah fait figure de pionnier. À la tête de PORTEO, entreprise qu’il a fondée et hissée parmi les leaders du BTP dans la sous-région, il incarne une nouvelle génération de chefs d’entreprise qui allient efficacité opérationnelle, rigueur stratégique et responsabilité sociétale.
Face à un écosystème concurrentiel dominé par des géants multinationaux et des acteurs locaux bien implantés, PORTEO s’est imposé grâce à une culture d’entreprise exigeante, fondée sur l’intégrité, la qualité, la performance et l’engagement.
Le marché ouest-africain du BTP est en pleine mutation. Malgré les investissements croissants, les obstacles restent nombreux : déficit d’infrastructures robustes, flambée des prix des matériaux, et manque de compétences techniques. Pour répondre à ces défis, PORTEO a mis en place un modèle intégré, alliant formation, contrôle rigoureux des processus et adaptation constante aux standards internationaux.
Hassan Dakhlallah a su démontrer que bâtir des routes ou des édifices n’est pas une finalité, mais un moyen de générer de l’emploi, renforcer les savoir-faire locaux et jouer un rôle actif dans le développement des communautés. Cette approche inclusive a permis à PORTEO d’étendre son influence bien au-delà des frontières ivoiriennes.
Infrastructures et prospérité : un tandem gagnant
Le secteur du BTP est reconnu comme moteur économique à fort potentiel en Afrique. D’après la Banque Africaine de Développement, il faudrait investir chaque année plus de 130 milliards de dollars pour combler le déficit en infrastructures. En Côte d’Ivoire, les projets publics et privés dans ce secteur soutiennent une croissance durable.
« Chaque infrastructure doit avoir une utilité humaine et une valeur économique », affirme Dakhlallah.
Chez PORTEO, les routes sont des vecteurs de mobilité, les ponts des passerelles vers l’opportunité, les bâtiments des catalyseurs de transformation.
L’entreprise a généré plus de 10 000 emplois directs et indirects, formant une large part de la main-d’œuvre locale. Grâce à une politique active de développement des compétences, PORTEO façonne une nouvelle génération d’ingénieurs, d’ouvriers spécialisés et de techniciens africains.
Par le biais de partenariats avec des écoles techniques et universités, mais aussi par la mise en place de programmes internes de montée en compétence, PORTEO construit un réservoir de talents ancrés dans les réalités africaines. Par ailleurs, en intégrant des PME locales dans son réseau de sous-traitance, l’entreprise stimule le tissu économique ivoirien, tout en créant des cercles vertueux d’innovation et de résilience.
La contribution de PORTEO au tissu économique national est significative. Le BTP représente une part substantielle du PIB de la Côte d’Ivoire, et participe activement à la création d’emplois durables. En apportant structure et modernité à un secteur parfois sous-organisé, l’entreprise renforce l’attractivité du pays dans un contexte régional hautement concurrentiel.
L’impact social : une mission ancrée dans l’ADN de PORTEO
Avant même de créer la Fondation PORTEO, Hassan Dakhlallah agissait déjà en faveur du mieux-être de ses collaborateurs et des populations. Fidèle à sa discrétion naturelle, il menait des actions sociales ciblées, convaincu que toute réussite n’a de sens que si elle est partagée.
La création de la fondation a permis de structurer ces initiatives et de leur donner une portée plus large. Elle centralise les projets d’intérêt général et veille à ce que les ressources soient allouées avec transparence et efficacité.
L’un des projets emblématiques est celui des cantines scolaires autonomes.
« Plutôt que d’importer des repas, nous avons formé des femmes à cultiver des légumes pour les vendre aux cantines. Cela réduit les coûts, génère des revenus et améliore la nutrition des enfants », explique-t-il.
Les résultats sont parlants : dans certains établissements, le taux de réussite scolaire a presque triplé grâce à une alimentation équilibrée. C’est là l’illustration concrète d’un modèle de solidarité circulaire pensé pour durer.
Réinventer le BTP en Afrique : un pari audacieux
Hassan Dakhlallah défend une vision industrielle du BTP africain. Pour lui, il est temps de mettre fin à la dépendance aux importations :
« L’Afrique doit transformer localement ses ressources, former ses experts, et bâtir avec ses propres forces. »
Dans cette optique, PORTEO investit dans des unités de production de matériaux, réduisant ainsi les coûts et améliorant les délais. Contrairement aux pratiques habituelles de mutualisation de moyens, Dakhlallah a fait le choix de l’indépendance opérationnelle.
L’ensemble des bénéfices de l’entreprise est réinvesti pour acquérir des équipements de pointe, renforcer l’autonomie de production et améliorer les performances. Cette stratégie offensive permet à PORTEO de tenir des délais serrés et de livrer des projets complexes sans dépendre d’intermédiaires.
La transition vers une industrie plus durable est également une priorité. L’entreprise intègre les dernières technologies : digitalisation des chantiers, matériaux éco-responsables, et solutions bas-carbone. Ce positionnement innovant fait de PORTEO un pionnier du BTP intelligent en Afrique.
Une référence continentale
Au-delà des chiffres et des chantiers, Hassan Dakhlallah incarne une vision d’avenir :
« Une entreprise, pour réussir, doit transformer positivement son environnement. Le vrai indicateur de performance, c’est l’impact sur les vies. »
Dans une Afrique à la recherche d’un nouveau souffle économique, PORTEO démontre qu’il est possible de conjuguer efficacité, équité et durabilité.
Le marché du BTP, qui pèse aujourd’hui entre 8 et 10 % du PIB des principales économies de la région, représente un levier central de développement. Avec plus de 500 kilomètres de routes modernisées et plus de 200 PME locales intégrées à ses opérations, PORTEO prouve qu’une entreprise peut devenir un accélérateur de transformation collective.
Oumar Sanogo –
Correspondant Afrique de l’Ouest
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